De style renaissance, le bâtiment réalisé par l'architecte Louis Cordonnier a été inauguré le 7 avril 1929.
Place de la Libération
Son architecte est Louis-Marie Cordonnier et sa première pierre a été posée le 13 avril 1924. On y découvre: deux hautes tours carrées, surmontées d'une calotte byzantine.
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Place Brüel
Son histoire débute au 16ème siècle. Deux personnes trouvent une statuette représentant une vierge à l'enfant dans un fossé entre Merville et Haverskerque.
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Le Sart
Il a été construit par les architectes Legrand, Bedu et Gruson. Il s'est vu octroyer un véritable bain de jouvence en 2002: repeint et reforgé, il est désormais prêt à accueillir les prestations des musiciens locaux.
Place Jean-Baptiste Lebas
Construit par Louis-Marie Cordonnier en 1924, ce grand séminaire de philosophie a été commandé par le diocèse de Lille.
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Rue Victorine Deroïde
Elle a été créée en 1894. Détruite lors de la première Guerre Mondiale, ses bâtiments actuels furent reconstruits en 1923 sous la houlette de l'architecte L'Hermite.
Rue Ferdinand Capelle
La ville compte cinq monuments aux morts.
Aux Deux-Ponts, à l'église, au cimetière, au Sart et dans l'église de Caudescure
A la fin de la première Guerre Mondiale, des bornes sont placées à la limite de l'avancée des troupes allemandes. Imaginées par le sculpteur Moreau Vauthier, elles ont trois formes différentes: surmontées d'un casque français, belge ou britannique.
Route d'Hazebrouck et rue d'Aire
A l'initiative de Victorine Deroïde, la maison Saint-Victor est construite à la fin du 18ème siècle, entourée d'un superbe parc, avec pelouse et massifs arborés. Confié à la congrégation des Soeurs de l'Enfant Jésus, l'établissement accueille depuis la première Guerre Mondiale, des enfants de 3 à 18 ans.
Rue Victorine Deroïde
Ce bâtiment accueillait jusqu'en 2012, la congrégation des Petites Sœurs de Saint-François d'Assises (infirmières).
Bâtiment communal, il abrite des services municipaux mais également le musée des Amis du Vieux Merville.
Rue du Général de Gaulle
La cheminée était celle d’un moulin à eau, actionné grâce à la Lys, lors de la Révolution. Puis, le moulin est devenu une minoterie produisant de la farine. Il était prévu de faire fonctionner l’équipement grâce à des machines à vapeur, d’où la cheminée. La minoterie a arrêté de fonctionner dans les années 60.